"Un pianiste d'une sensibilité sans borne" (Gramophone) ; "Il représente une tradition en voie de disparition qui privilégie l'expression intérieure et l'atmosphère plutôt que la démonstration et la bravoure" (Chicago Tribune) ; "Une technique et une musicalité impeccables ... il serait difficile d'imaginer de meilleures performances" (Sunday Times - Londres) ; "Cet artiste a le genre de toucher sans faille qui fait haleter un public" (Washington Post) ; "Un jeu exquis" (New York Times).

Depuis plus de quarante ans, le pianiste irlandais John O'Conor recueille d'excellentes critiques pour son jeu magistral. Après avoir étudié dans sa ville natale de Dublin, à Vienne avec Dieter Weber et sous la tutelle du légendaire Wilhelm Kempff, son premier prix unanime au concours international de piano Beethoven à Vienne en 1973 lui a ouvert les portes d'une carrière qui l'a mené aux quatre coins du monde.

Ses enregistrements de l'intégrale des sonates pour piano de Beethoven ont fait dire à CD Review qu'il "devrait désormais être reconnu comme le premier interprète mondial de Beethoven" et ses récents enregistrements de l'intégrale des concertos pour piano de Beethoven avec l'Orchestre symphonique de Londres et Andreas Delfs ont également été salués. Au cours des deux dernières années, il a publié trois nouveaux CD sous le label Steinway, dont un consacré aux Variations Diabelli de Beethoven et deux aux Sonates de Haydn. Il a également été présenté sur tonebase.com avec des vidéos sur l'enseignement et la discussion des sonates de Beethoven et de Haydn. L'été dernier, il a enregistré un CD de l'intégrale des sonates pour violoncelle de Beethoven avec la violoncelliste irlandaise Ailbhe McDonagh.

Artiste Steinway, il est président de la division de piano à l'université de Shenandoah en Virginie, professeur de piano à l'école Glenn Gould du Conservatoire royal de musique de Toronto, artiste invité distingué au conservatoire de musique de TU Dublin et professeur invité à l'université de Showa au Japon.

Pour ses services rendus à la musique, il a été décoré "Officier de l'Ordre des Arts et des Lettres" par le gouvernement français, a reçu le "Ehrenkreuz für Wissenschaft und Kunst" par le gouvernement autrichien, l'"Ordre du Soleil Levant" par l'empereur du Japon, et a reçu de nombreuses autres distinctions.

Mari Kodama est constamment louée pour sa virtuosité dans un large éventail de répertoires, y compris des œuvres orchestrales, de chambre et pour soliste de compositeurs de toutes les époques. Elle est également connue pour sa musicalité naturelle, son expressivité tonale avec une forme claire, et en tant qu'interprète de référence de Beethoven.

Au cours de la saison 2023/24, Mari Kodama mettra en valeur ses divers talents lors de divers concerts internationaux, tels qu'un concert en plein air avec le Philharmonischen Staatsorchesters Hamburg (Kent Nagano), trois concerts d'ouverture de saison avec le National Symphony Orchestra, Taiwan (Lan Shui), des concerts de début avec l'Orchestra Haydn de Bolzano et de Trento et un retour au Japan Philharmonic (Kahchung Wong). Elle donnera un récital solo au Festival Louvre Lance ainsi que des récitals en duo avec Momo Kodama au Japon et à la Salle Bougie à Montréal. Elle donnera également son premier récital au Konzerthaus Blaibach, qui marque le début de sa série avec les 32 sonates pour piano de Beethoven et de nouvelles œuvres écrites par Rodolphe Bruneau-Boulmier.

Comme preuve supplémentaire de sa polyvalence, elle joue un rôle central dans la production de ballet "Beethoven Projekt II" (John Neumeier), qui a connu un énorme succès et qui a rouvert le Staatsoper de Hambourg après des mois de fermeture et qui a été repris en 2022/23 avec huit représentations. En récital, elle a collaboré avec Markus Hinterhäuser pour les Visions de l'Amen de Messiaen. Elle a également organisé le festival Beethoven "A Life in a Day" à San Francisco, et a présenté les 32 sonates pour piano de Beethoven en deux jours, interprétées par 14 solistes différents.

François-Frédéric Guy mène une carrière internationale aux côtés des plus grands chefs comme Philippe Jordan, Kent Nagano, Daniel Harding, Esa-Pekka Salonen, avec des orchestres prestigieux comme les Wiener Symphoniker, l’Orchestre Symphonique de Montréal, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, le NHK Symphony Orchestra de Tokyo ou le Philharmonia Orchestra à Londres.

Curieux de la musique de son temps, il se fait l’interprète de nombreux compositeurs contemporains et donne régulièrement des oeuvres en création mondiale. Au cours de la saison 22-23, il donne en création mondiale le nouveau concerto de Tristan Murail à Paris (Orchestre Philharmonique de Radio France), au Barbican de Londres (BBCSO), à l’Elbphilharmonie de Hambourg (NDR Elbphilharmonie Orchester) et à l’opéra de Tokyo (NHKSO).

Entre 2014 et 2017 il est Artiste en Résidence à l’Arsenal de Metz. Entre 2017 et 2020, il est Artiste associé comme pianiste et chef d’orchestre à l’Orchestre de Chambre de Paris. Depuis 2012, François-Frédéric dirige régulièrement du piano différentes formations dont l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège, le Sinfonia Varsovia, l’Orchestre National des Pays de Loire, l’Orchestre National de Lorraine ou l’Orchestre de Chambre de Paris avec lequel il reçoit un accueil triomphal au Théâtre des Champs-Élysées en janvier 2020 lors de l’ouverture de l’année Beethoven du théâtre.

En septembre 2022 il prend la direction musicale de l’ensemble suisse Microcosme. Il s’est produit récemment à Paris en récital et avec orchestre à la Philharmonie, au théâtre des Champs-Elysées et au Châtelet. On a pu l’entendre également au Wigmore Hall de Londres, à la Philharmonie de Vilnius ou à la Grange au Lac d’Évian. Il a retrouvé Philippe Jordan à Munich avec le Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks (BRSO).

Il y a quelques mois, il était l’invité de la Seine Musicale, de l’Arsenal de Metz, de l’Orchestre National de Bordeaux dirigé par Roberto Gonzàlez-Monjas, du Wigmore Hall de Londres, de la salle Flagey de Bruxelles, du HRT Symphony Orchestra de Zagreb sous la direction de Pascal Rophé, le NDR de Hambourg à la Elbphilharmonie (Stephan Ashbury), le SWR de Stuttgart (Brad Lubman) et du Seoul Philharmonic sous la direction de Marc Albrecht.

Ses deux dernières parutions discographiques (Debussy/Murail et un double album consacré à Chopin) parues chez La Dolce Volta ont été chaleureusement accueillies par la critique. Ses prochains concerts le mèneront en Europe, notamment en France, au Portugal où il dirigera du clavier les 5 concertos de Beethoven, au Danemark, en Suisse, en Allemagne, en Angleterre, en Arménie, mais aussi au Japon avec le NHK Symphony Orchestra.

Jury pour la présélection par vidéo

Hugues Cloutier, Jeanne Amièle. Serhiy Salov, Stéphane Sylvestre, Lana Henchell et Mehdi Ghazi.